Résultat "Négociation annuelle obligatoire 2010"

Publié le par La CGT Placo

 

 

 

FO CFTC CGT CFE/CGC CFDT

 

               Résultat Négociation annuelle                     obligatoire des salaires.

              15 décembre 2010

 

Augmentation 2011

                              1,7%

Prime exceptionnelle 1400 €

                       250€

 

prime de Vacances non cadre à 1500 €

                            Non cadres 1300€ et cadres 600€

 

prime de panier alignement pour tous et application à 6 €

                           Plâtre 5€30  carrière et PSE 4€65

 

prime déshabillage/habillage pour l’ensemble du personnel 5 €

                           2,60€

 

harmoniser et création d’une prime de mobilité pour le personnel des carrières.PSE et Plâtre 80 €

            On regarde pour les carrières et Plâtre 60€      PSE 27€

 

Astreinte 2,50 la semaine et 5 € le week-end et forfaitisation

                         Semaine 2€         week-end 4€30

 

Prime de transport +20 %

   Indexée sur l’indice INSEE transport (3,6% cette année)

 

prime de repas 27 €

   Indexée sur l’indice INSEE (1,4% cette année)=21€80

 

Demande un accord sur la Pénibilité du travail

                        Groupe de travail en cours

 

Acquisition d’une troisième journée pour enfants malade.

   OUI

     L’inter Syndicale

Publié dans Syndicat

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Vous aimerez aussi :
Ce que nous cache le gouvernement
Ce que nous cache le gouvernement
Point sur les NAO 2010: Une farce !!!
Point sur les NAO 2010: Une farce !!!
5x8 temporaire chambéry
5x8 temporaire chambéry
Point sur les dernières "négociations"...
Point sur les dernières "négociations"...
Ce que nous cache le gouvernement
Commenter cet article
L
Les Abbesses de Gagny-Chelles
31/05/2011 22:11
<br /> <br /> Fort de Vaujours / Courtry ou le risque d’un désastre sanitaire majeur<br /> <br /> <br /> Par Hullnudd le vendredi 27 mai 2011, 09:40 - Fort de Vaujours - Lien permanent<br /> <br /> <br /> <br /> actualités<br /> <br /> <br /> carrières<br /> <br /> <br /> Pollution<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Le CEA (Commissariat à l'Energie Atomique) a utilisé le fort de Vaujours (localisé sur les<br /> villes de Vaujours, Courtry et Coubron) de 1955 – 1997 (afin de réaliser des expérimentations dans les technologies du nucléaire). C’est sur le fort de Vaujours qu’a été développé le<br /> système de détonation de la première bombe atomique française. De 2000 à 2002, suite à un long combat politico-associatif, le CEA a accepté des études de la CRIIRAD afin<br /> d’étudier les pollutions radioactives du site (45ha).<br /> <br /> <br /> En 2002, La CRIIRAD (Commission de Recherche et d'Information Indépendantes sur la<br /> Radioactivité) a démontré l’importance de la pollution du site au travers de quelques mesures exploratoires. Suite à ce rapport qui n’était pas une cartographie<br /> radiamétrique complète, le CEA a a fait réaliser par SUBATECH, une décontamination limitée du site en surface autour des zones contaminées découvertes par la CRIIRAD.<br /> <br /> <br /> Cette association a émis de très nombreuses réserves suite à ces opérations limitées de nettoyage, des réserves qui ont été très appuyées auprès de tous les acteurs dixit Bruno<br /> Chareyron, responsable du laboratoire de la CRIIRAD.<br /> <br /> <br /> Le rapport de 2002 ( Rapport CRIIRAD -<br /> Dossier Vaujours / Synthèse et recommandations de la CRIIRAD du 17 Septembre 2002 ) exprime la nécessité d’un dépistage plus approfondi du site (Chapitre 3.2 page 10).<br /> <br /> <br /> En effet, le site n’a été que partiellement analysé et cela avec des méthodes ne permettant pas une analyse au-delà de quelques centimètres sous la surface (Chapitre. 2.7 page<br /> 7, ). De plus le CEA a admis être dans l’incapacité de nettoyer certaines zones contaminées du site. Le rapport déclare également une contamination des sous-sols au travers des<br /> eaux souterraines (Chapitre 5.3 page 16).<br /> <br /> <br /> Le CEA a rétorqué à ces réserves que celles-ci seraient couvertes par des servitudes du site dans le cadre d’un arrêté préfectoral. Ces servitudes devaient protéger le site de toute utilisation<br /> pouvant nuire à la santé publique.<br /> <br /> <br /> 8 années s’écoulent et le dossier est oublié de tous…<br /> <br /> <br /> En 2010, la majeure partie du site est rachetée à l'état Français par la société Placoplatre dont des usines résident à proximité immédiate.<br /> <br /> <br /> Une zone moindre est acquise par la Communauté d’Agglomération de Marne et<br /> Chantereine (CAMC – Chelles, Courtry, Vaires-sur-Marne, Brou-sur-Chantereine). Placoplatre désire réaliser une carrière à ciel ouvert et le CAMC, une zone d’activités.<br /> <br /> <br /> Une carrière à ciel ouvert, cela signifie le déplacement sur 35ha et sur 20 mètres d’épaisseur des couches de terres et de strates géologiques supérieures du site, puis l’éclatement des masses<br /> de gypses avec des explosifs !!!<br /> <br /> <br /> Une Zone d’activité, cela signifie des travaux pour construire des bâtiments et dont le remaniement des sols à proximité immédiate d’une carrière à ciel ouvert sur des sols très probablement<br /> contaminés.<br /> <br /> <br /> En Mai 2011, l’association l’EFFORT de VAUJOURS dénonce la pollution toujours existante du site avec des taux en surface jusqu’à 33 fois la norme. Elle en apporte la preuve au travers d’un film<br /> et des photos.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> La CRIIRAD ne tarde pas à réagir et demande que le fort de Vaujours doit faire l’objet de nouvelles expertises et que les activités prévues sont contraires aux servitudes qui devaient frapper<br /> le site.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> La société Placoplatre, filiale du groupe Saint-Gobain, en réaction a déclaré qu’aucune mesure anormale n’a été détectée et a mis en place dans la foulée un gardiennage 24h/24h<br /> . Placoplatre déclare dans des communiqués officiels que le site a été nettoyé et qu'il n'est plus contaminé.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Si la contamination du site est conforme aux propos et réserves de la CRIIRAD : Les risques sont multiples, les principaux étant la contamination des populations et des travailleurs par<br /> l’inhalation de poussières radioactives, l’ingestion de matières et de denrées alimentaires contaminées et d’expositions externes. Il convient également de préciser les risques additionnels<br /> liés aux explosifs et autres pollutions hautement toxiques qui ont souillé les sols du Fort de Vaujours.<br /> <br /> <br /> <br /> <br />
Répondre